Un camion un peu particulier

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il y a 7 ans

Un camion un peu particulier

Par FED ERIC

Deux fois dans la nuit je l'ai entendu aller pisser et venir sur moi, crachant sur mon cul pour me pénétrer. A chaque fois il se vidait dans mon trou et je bandais mais j'ai pas eu le temps de jouir. Je couinais mais plus de plaisir que de douleur. Le matin, il m'a seulement oté les cadenas et détaché mes pieds. j'ai pu me lever pour aller aux toilettes et me doucher. Il avait fait le café.

Bon je t'explique. Je vais au taf y porter ta lettre et me faire payer. Ils te doivent surement du fric . Tu l'auras en rentrant chez toi plus tard. Après la poste je fais un tour au sexe shop du centre et je reviens. J'ai reçu un sms de Manuel me donnant un endroit près de St Denis ou des lopes tentent de survivre. Paraît q'il y en a de superbes et qui aiment la soumission pour la soumission. On ira voir. Je vais fixer une chaîne à ta cheville. Tu pourras découvrir ma maison roulante et faire le ménage. J'en ai pas pour très longtemps. Tu n'as pas assez de chaîne pour aller au poste de conduite, ni aller dans le garage. En cas d'urgence, feu ou autre, t'as un bouton qui déverrouille la porte mais tu sera nu dehors.

En parlant il fixait une chaînette à ma menotte de cheville. Il a bu un café et m'a fixé, ça ira?

Ben pour le moment oui. Parfait même. Je suis plutôt casanier et la télé me suffit après le ménage.

Ah j'oubliais. Il a posé une cage de chasteté sur la table. Mets la et cadenasse la j'ai les clés. Dépêches toi.

J'avais déjà porté ce genre de truc et je n'ai pas été long à la poser.

Bon comme ça tu te branleras pas. A tout à l'heure.

Il est sorti par la chambre du fond , communicante avec le garage. J'ai entendu des bruits métalliques et électriques puis son moteur et les bruits du moteur qui refermait le garage. Y a eu un grand moment de silence. Je n'avais pas été seul depuis longtemps. J'ai bu mon café et j'ai profité du moment pour découvrir ce camion un peu particulier. Hyper confortable, tout les équipements ménagers étaient la, entre un couloir qui menait à sa chambre avec sa salle de bain et une petite pièce en longueur meublée de deux lits superposés. Plus en avant une salle à manger avec deux banquettes face à face et de l'autre coté la cuisine. Plus en avant encore il y avait un véritable salon avec canapé et meuble hi fi télé fixés au mur en hauteur. Dessous, un bar, petit mais on pouvait s'installer devant ou derrière. Face à l'entrée une petite pièce servait de toilettes et d'armoire à vêtements.

C'était génial! Au plafond courrait une barre fixée de temps à autres, permettant sans doute de se déplacer en roulant. J'avais repéré des bouches sur le bas des murs et j'ai vu les ustensiles qu'on fixe à un aspirateur. J'ai tenté le coup et ça a fonctionné dès que la bouche a eu le tuyau à l'intérieur. J'ai pu passer l'aspirateur et faire la vaisselle. Plusieurs fenêtres placées assez haut permettait de voir mais un genre de film occultait l'intérieur. J'ai fait les lits et nettoyés les salles de bain et douches. Une fois fini je me suis assis sur le canapé pour voir un DVD. Il avait pas mal de trucs , surtout des films gays et plutôt orientés domi/soumis. J'en ai démarré deux mais me suis arrêté ils me faisaient bander et mal à la queue dans le tube. J'ai posé une serviette sous moi et attendu en silence. A midi et demie j'ai entendu la trappe du garage et l'ai vu par une fenêtre. Un sac à dos sur lui à moitié rempli.

Une fois le garage refermé il est entré et m'a foutu la main aux fesses . Tu vas bien ma lopette?

Il avait posé le sac sur la table du salon. Une bonne odeur de pain frais s'est répandue quand il a sorti la demie baguette. Puis il a sorti des sacs sombres et neutres. J'ai compris d'où ça sortait. Il a déballe le premier. Un gode imposant mais j'ai vu qu'en fait ce n'était qu'un prolongateur de queue. Un pot de graisse sexuelle Crisco. On verra la reste plus tard. Tu as du voir des rillettes dans les conserves et j'ai faim.

Oui José. Tu veux un sanwich?

Toi et le sandwitch. Prépare le d'abord. J'aime l'odeur des rillettes et tu devines ou je l'aime cette odeur?

Oh! Entre mes fesses?

Gagné. Bouffer un cul bien graissé tu verras plus tard. C'est bon!

J'avais ouvert le pot sorti du frigo et coupé la demie baguette, fendue en deux. J'ai étalé les rillettes sur une face en mettant sur mes doigts. C'est moi qui la mets?

Oui étale le gras dans ta raie et dans tes fesses.

C'était vicieux mais mes doigts glissaient en le fixant. Il mangeait se barbouillant involontairement les lèvres de gras de rillettes. Une fois fini, j'avais le doigt bien enfoncé et gémissais comme une chienne devant lui. Il a pris la place de ses doigts avant de passer la langue dans ma raie me faisant frissonner. Il a bien nettoyé ma chatte me rendant tout chiffon, bavant de la queue. Je me suis foutu entre ses genoux pour le dégager et j'ai sucé comme une folle de bite avant de me relever et m'appuyer sur la table en tendant mes fesses. Il a pas eu une seconde d'hésitation et j'ai gueulé mon plaisir sous ses coups de queue. Cette fois encore il a joui en moi.

Va te laver . Je finis de manger et on s'en va. J'ai pris ma douche.

Je peux poser deux questions?

Vas y.

Comment tu fais pour avoir un truc pareil à toi.

C'est le plus simple. Le pot et le pas de pot, du décès de mes parents qui avaient deux usines. J'en ai vendue une et j'ai investi en faisant par ailleurs construire ce truc comme je le voulais. Je garde la deuxième sous gérance pour renflouer mes caisses de temps en temps. La deuxième?

Ben, c'est légal ce truc dont ce mêle Manuel avec les migrants?

Oui et non. Oui quand je fais plaisir et non parce qu'ils sont sans papiers mais si ça t'arrive à toi, trouver un peu de bonheur c'est pas si mal. En plus disons qu'il a comme ça une oreille chez eux! Ne t'inquiète pas Manuel ne fait rien d'illégal. Bon on va partir mais passe ce slip .

Je l'ai enfilé il faisait fille mais si ça lui plaisait... Montre toi! ok il a fait une marque au feutre. Enlève le. je l'ai ôté. Il a donné trois coups de ciseaux pour le découper, un au fond et deux de chaque coté. Remets le et la partie qui pend, mets la devant pour pomper un peu ta bave. La ok comme ça. Assieds toi devant la table et mets ta ceinture .

Il est passé devant et a démarré l'engin dans un bruit feutré. J'avais les fesses nues sur la banquette et une doublure de plus sur la cage. Il est sorti de l'aire d'autoroute et 'ai vu les poteaux défiler direction Paris. C'était monotone et j'ai un peu somnolé, m'eveillant quand il m'a dit de regarde par la fenêtre. Un Boeing roulait juste au dessus à droite, on devait être à Roissy. J'ai mieux regardé un peu partout mais que des immeubles et peu d'espaces verts Il s'est garé dans une sorte de marché de gros ou la il avait de la place.

Bon toi tu restes la, je vais voir ce qu'il y a de beau la bas ou Manuel m'a dit. Il est parti avec sa moto j'ai vu des mecs passer en discutant devant le camion , étonné de voir un truc pareil. Si ils avaient su ! Je ne savais pas à quoi m'attendre et ce n'est que deux heures plus tard qu'il est arrivé avec un jeune derrière lui sur la selle. Il m'a paru bien mince, fluet serait plus exact. Il a rangé la bécane et a refermé venant ouvrir la porte sur le coté. Entre! J'ai vu son oeil étonné et son air étranger. Nez assez fin, long. Pas de barbe mais une fine moustache. Il m'a vu, regardé sans paraître étonné.

Bonjour.

Sa voix était fluette mais au moins il parlait français. J'ai vu ses yeux briller quand il a vu la chaîne à ma cheville. José le poussait en avant et a refermé derrière lui.

Déshabille toi!

Il a obéi aussitôt presque amusé de la situation. Il n'avait pas de poils sauf un petit peu frisé au pubis. Son sexe pendait entre ses cuisses comme ses couilles.

Voilà ton petit camarade de jeu. Aari, iranien d'origine arrivé ici parce que chez lui les homos ne sont pas acceptés et battus pour cela. Il aime les petits coups mais pas le baston. Il et doux comme un agneau. Aari je te présente Dominique. Lève toi salope et dis bonjour.

Je suis allé lui serrer la main, bonjour.

C'est froid ce bonjour! Tu pourrais embrasser ton nouvel ami!

Bon si il voulait ok! Je me suis penché sur ses lèvres qui se sont ouvertes facilement pour aspirer ma langue. Il s'est reculé en souriant. J'aime ton accueuil!

Bon. On ne va pas rester la. asseyez vous et faites connaissance je sors l'engin d'ici direction le sud. Aari s'est assis à coté de moi et a mis sa ceinture, me frôlant en souriant.

Bon autant explorer. J'ai passé la main entre les cuisses d'Aari. Il les a de suite ouvertes. On regardait pas trop dehors. Juste un coup d'oeil de temps en temps. Sa queue dressée n'était pas énorme mais longue. Elle soulevait ses couilles pas très grosses non plus en se raidissant.

Lui de son coté pas en reste tripotait ma cage dans le slip, étonné par la bave qui suintait. Il a passé le doigt sous la cage pour le retirer et goûter. Il a eu un sourire. La aussi tu sens bon Dominique. Nu et cambré comme il était je n'ai pas eu de gros effort a fournir pour passer la main sous ses fesses. Elles étaient lisses et son anus était tendre au toucher. Il s'est penché sur mon épaule. J'aime tes doigts et ta queue plus tard! On avait fait le tour de Paris et sur l'autoroute du sud jusqu'à ce qu'on sorte prés d'Avallon je crois. Il a trouvé à s'arrêter devant une boulangerie de village prendre une baguette et il est allé se garer dans une contre allée le long de la nationale.

Ouf le plus dur est fait. Je vois que vous avez fait plus ample connaissance. Vous vous plaisez? On a souri en coeur.

Bien ce soir, je sais que Dominique sait des trucs en cuisine et il va trouver un truc à préparer. Je file prendre une douche et je reviens. Aari était collé à moi tout le temps, me palpant partout sans gêne, sûrement pas habitué à le faire comme ça sans se faire taper. Ses doigts s'aventurant la ou José mettait son sexe.

Tu aimes toi aussi, je le sens à ta respiration.

Toi tu vas couiner tout à l'heure et je verrais si tu aimes ça autant que moi. J'avais mis de l'eau salée à chauffer et me retournant sur lui et J'ai commencé à lui sucer la queue Il a durci très vite. José est revenu nu et m'a relevé.

Hé la! Fait pas ta lopette dans ton coin. Sa queue luisante de flotte pendait majestueuse. Aari est tombé à genoux et a fait la première pipe à sa bite. Il s'est appuyé a la table le laissant faire en me matant. Tu aimerais son cul?

J'ai vu par dessus, oui si vous voulez mais en sandwich alors.

Gourmand! Tu apprécies les rillettes?

Ben oui à cet endroit la oui! Et je me vois bien au centre du sandwich! Aari nous regardait sans comprendre. Au fait vous avez fait un test sur lui.

Oui évidemment avant de prendre je me renseigne et il est négatif. Du pot pour lui. Avec leur régime, ils doivent pas prendre trop de capotes! Pendant que l'eau chauffait je me suis allongé sur le sol sous Aari pour lui lécher les couilles et le cul. Il bandait , gland pointé mais pas entièrement sorti. Il s'est appuyé sur mon visage , il aimait sûrement ce que je faisais.

Baisse le feu on mangera après.

Il a penché Aari sur mon sexe. Suce. C'est lui qui te prendra en premier . Il a eu l'air décu mais a sucé . Je le tenais par la nuque. Allant au plus loin mais ça ne le gênait pas. J'ai vu José se pencher et enduire son trou de rillette et idem pour moi. J'ai compris ce qu'il attendait et j'ai dit à Aari de se mettre à 4 pattes dans l'allée et j'ai léché son cul graissé de gras de rillette. José me faisait la même chose en me tripotant la queue pour mettre l'élongateur de queue en place. Il m'a léché la raie puis je me suis redressé et j'ai positionné le gode et poussé un peu, il a eu un petit cri quand je l'ai pénétré mais j'ai moi aussi du me retenir sur les meubles quand José s'est enfilé.

La il n'y a plus que moi qui bougeait, donnant dans un cul et recevant dans le mien. Je m'appuyais sur le dos d'Aari qui grognait par la taille du gode qui le baisait. José s'est vidé en moi et je me suis dégagé. Aari a vu la supercherie et m'a retourné d'un coup sur le dos.

Salope j'en bande encore et tu vas en profiter. Sa queue bien plus fine que celle de José n'était pas déplaisante et j'ai tiré son visage sur moi pour l'embrasser. Il s'est crispé mais je le tenais aux hanches et José l'a sodomisé. Pire que le gode. Cette fois il couinait en me tirant, poussé par José dans ses fesses. Il a eu juste le temps de se retirer pour jouir sur mon ventre. Je m'étais branlé et était secoué de spasmes à chaque giclées. José nous a fait lécher sa bite ce qu'on a fait sans rechigner vu le plaisir qu'il nous avait donné.

Bon alors tu nous fait des spaghettis Dominique? Aari va mettre la table tu lui diras ou sont chaque chose moi je me sers un apéritif. Prévenez moi quand vous serez prêts.

En chuchotant pour ne pas le déranger je lui ai indiqué la place de chaque couvert et assiettes. T'as aimé le gode sur ma bite?

Pas pareil mais pas mal quand même! J'essayerais sur toi tu verras. Le coup des rillettes m'a surpris mais c'est hyper gras et ça glissse facile après.

J'ai mixé un mélange d'oignons et de tomates avec des épices et sortant les spaghettis j'ai demandé à José si il était prêt avant et j'ai placé le tout dans un plat au centre. Il s'est installé et je l'ai servi attendant son avis puis après Aari et moi.

On va où José?

J'ai réservé une place pour le bahut sur un camping du cap d'Agde.

Au truc de nudiste?

Oui mec pour toi qui est toujours nu ça ne te changera pas! Comme Aari.

Euh ben si! Tu sais bien l'effet que me font les belles bites visuellement!

Et bien tu te retiendras. Moi ce sera pareil de voir de jolis petits culs.

Tu sais très bien où te satisfaire et je crois que Aari et moi on aime bien te faire plaisir. Comme les scouts, toujours prêts.

Il faudra bien j'ai des potes la bas.

Euh, des montés comme toi?

Je sais pas, ce n'est pas trop ce coté la qui m'intéresse quoique avec Akim je peux pas dire que j'ai pas aimé. Disons que j'ai eu mal mais après ... Bon passons. Pas mal tes spaghettis. Simple et bien cuit avec le bon choix d'épices. On va passer par le chemin des écoliers, je n'ai la place que je voulais pour le bahut seulement après demain. Tu vas voir le viaduc de Millau.

Ah oui ok, ce n'était pas le viaduc qui me tentait pour le moment plus une envie de goûter Aari qu'autre chose mais une fois fini de manger, il l'a fait monter au dessus du poste de conduite et l'a attaché dans la même position que moi. Avec un coussin sous le ventre, je devais reconnaître que son trou était vraiment attirant et bien visible comme j'avais du l'avoir. J'ai vu que dehors la nuit était tombée et il m'a emmené dans la petite chambre aux deux lits superposés. Menotté au lit par les mains.

Je laisse la porte ouverte tu pourras entendre. Dors bien ma lope. Il est allé se coucher. Deux fois il s'est levé et les deux fois j'ai entendu Aari gémir. Je bandais nu sur mon lit imaginant une bite dans mes reins. Après la deuxième fois j'ai essayé de me piper mais je n'arrivais qu'à toucher mon gland de la langue. Frustré j'ai eu du mal à m'endormir. Trop vite réveillé par José d'une claque sur les fesses.

Va faire le café je prends ma douche . Il m'a détaché et je suis allé à la cuisine d'où je voyais Aari de dos le trou encore un peu ouvert. Sans consigne pour le réveiller j'ai fait du café et mis les bols et ce qu'il fallait. Il est revenu content de lui.

T'as entendu la sérénade ? Oui j'en suis sur à voir tes yeux. Tiens voilà les clés. Détache le et si tu veux jouer avant te gêne pas. Il a pris son bol rempli et s'est assis pour voir.

Quelques marches m'on amené jusqu'au corps d'Aari que j'ai léchouillé. Il sentais ce que sente les corps repus d'amour et j'ai joué avec sa queue qui a de suite bandé.

Branle moi Dominique! Suce moi je tiens plus.

Je me doutais bien que ce n'étais pas sa queue qui intéressais José. Moi j'aime la bite et après l'avoir bien malaxée du gland aux couilles je n'ai eu que quelques coups de langues pour savourer son lait. Je l'ai détaché. Il luisait de salive de mes léchouilles.

On a bu le café avec des petits gâteaux, José avait retiré la cage et il nous a laissés sur la banquette, côte à côte en reprenant le volant. Les villes se sont succédées, de brefs arrêts pour se délasser sur le bas coté juste avec un tee-shirt long comme des gamins, qui ne couvraient l'essentiel qu'en gardant les bras baissés. Il y a eu aussi l'arrêt sur une aire pour les campings cars pour évacuer les eaux usées et approvionner d'eau les réservoirs. Même en roulant tranquille on a passé le viaduc vers 18 heures, Aari plus surpris que moi. Magnifique.

Il s'est arrêté après un village , passant par un chemin à peine goudronné, il s'est arrêté à la lisière d'une forêt.

Suffit pour aujourd'hui. Prépare moi un sandwich, on mangera mieux demain.

Il est sorti à ouvert un coffre sous le bahut pour en sortir une table et un fauteuil de toile. Il s'est assis pour attendre, au frais dehors. Il n'y avait personne et je lui ai descendu le pain garni. Je commençais à avoir les poils qui poussaient et me grattaient. Il faisait bon dehors. Aari est sorti aussi moins à l'aise mais il a eu l'air d'apprécier être nu dehors. J'avai fait des sandwichs clubs et on a mangé. Lui dans le fauteuil et nous par terre dans l'herbe. Il n'était pas loin de faire nuit quand il est monté et assez vite redescendu avec le sac en plastique noir du sexe-shop de Lilles.

Venez, on va marcher un peu, mettez des baskets. J'étais un peu surpris mais assi excité.

Il avait refermé son bahut d'un clic et on l'a très vite perdu de vue après des virages. Cette fois la nuit était tombée le ciel étoilè était magnifique. Il s'est arrêté sous un petit arbre avec des branches courbées par le vent.

Approche Dominique tu seras le premier. il a sorti des boules pour ne rien entendre. Mets ça dans tes oreilles. Il a continué à parler mais j'entendais à peine. Il m'a menotté aidé d'Aari qui souriait et entravé les chevilles avant de me mettre un masque sur les yeux. Je bandais d'impuissance totale. Je ne voyais rien et n'entendais pas grand chose, nu dans la nature. Je les ai à peine entendu s'éloigner. Frissonnant de frousse bandant moins. L'air passant entre mes cuisses et mes fesses. Je ne bougeais pas et ça a duré un bon moment j'allais appeler quand j'ai senti une main sur mes fesses. Douce, elle explorait ma raie, frôlant ma fente de mec me faisant bander involontairement. La main s'est serré sur ma queue et l'a décalotée d'un coup un maximum me faisant pousser un cri sourd. La main est passée sur mes couilles, les soupesant comme des boules de jeu. Je sursautais mais bandais, tentant à la fois d'échapper et de me frotter contre cette main. J'ai été poussé à genoux sur l'herbe et j'ai senti l'odeur caractéristique d'un sexe mâle tendu. j'ai tendu la bouche , cherchant sans arriver puis d'un coup le sentant presser sur ma joue. Très excité j'ai serré les lèvres dessus.

Le sexe s'est aussitôt retiré et j'ai reçu une petite baffe sans savoir pourquoi. La queue est revenu se poser sur mes lèvres que j'ai ouverte, attendant. Cette fois le mec s'est enfoncé dans ma gueule. Assez loin pour que je sentes ses poils me gratter le nez. Il a du se pencher, j'ai senti sa main passer encore dans ma raie. Un doigt est entré me faisant gémir sur la bite. Je suçais une bite inconnue et j'aimais comme une vraie salope sans même savoir qui je pompais. Ce n'était pas José ni Aari , ni Manu. Un inconnu me bourrait la tronche et j'en bandais. J'ai été poussé en avant, cul en l'air et fessé à petits coups répétés pour me faire cambrer. Je ne m'entendais pas par les oreilles mais un gémissement devait s'entendre. Il a étalé sur mon trou de la salive sans doute et j'ai senti mon anus s'ouvrir et un sexe se glisser en moi. Tenu par les hanches le mec m'a bourré le cul à grands coups. Je sentais ses couilles battre contre la base de mon scrotum . Le mec m'a bourré sans tenir compte de mes envies . Juste pour se vider au final sur mes fesses et étaler son jus sur mes reins. D'un coup je n'ai plus rien senti derrière moi. quand j'ai réagis et ôté le masque , assis sur l'herbe il n'y avait personne. Un bon moment après à la clarté de la lune j'ai vu arriver José qui a ri en me détachant.

T'as pris ton, panard!

Oui c'est vrai. Géant. C'était qui?

Tu le sauras peut être plus tard. Allons voir Aari.

Je bandais encore de penser à cet inconnu. On pouvait suivre le chemin plus clair sur le sol. De loin j'ai vu deux silhouettes se relever et s'en aller laissant un tas que j'ai découvert en approchant. Aari était attaché sur le dos, un masque comme le mien et un collier ou tout était accroché. Des menottes qui ne pouvait pas lui faire faire un mouvement et un autre anneau retenais ses chevilles. Son anus palpitait encore. Entrouvert. José me l'a fait détacher, il avait du sperme sur le ventre et ses fesses luisaient sans doute de salive. Lui aussi bandait comme un fou. Ona ri ensemble avant de retourner à son bahut. Devant la porte un jeune mec d'une vingtaine d'année attendait nu visiblement rasé , mignon et pas farouche. Il nous matait arriver. Du regard il a du comprendre qui était le dominateur et s'est mis à genoux devant José. Mes maîtres m'offre à vous ce soir en reconnaissance de votre participation.

Je ne comprenais plus rien. José lui devait savoir et l'a plaqué contre son pauet encore vêtu du jean. Juste un avant goût ,tu vas déjà satisfaire mes bâtards. Il a eu un regard sur nos bites encore dressées mais pas imposantes pour ça et a avancé sur les genoux pour me sucer.

Aari lui , palpait son cul qui se voyait à la lumière du bahut. Trou sombre qui se voyait bien sans poils et des petites fesses qui se sont écartées pour l'exposer. Aari l'a doigté pendant qu'il suçait. Il a eu un petit mouvement mais sans plus. Je me suis mis à genoux, il a suivi se mettant à quatre pattes pour sucer, pieds écartés il aimait montrer son trou. Aari tout heureux l'a pris d'un coup ce qui l'a fait grogner et aller plus sur ma bite. Je me retenais, il suçait bien et on a changé de place Aari et moi. Je ne sais pas à quel moment Aari n'a pas pu se retenir, je labourais ce cul habitué à la queue et j'ai du me retirer pour jouir de longs jets sur son dos. La j'ai vu qu'Aari avait giclé sur les joues du mec. José nous a fait lécher chacun le jus de l'autre . J'avais la langue si près de sa bouche qu'on s'est roulé une pelle. José nous a séparés. Vous ce soir vous dormez en haut de la cabine. Moi je l'emmène dans ma chambre le faire déguster.

On s'est allongé , blottis l'un contre l'autre comme deux animaus repus On entendait des claquements puis de cris et des gémissements qui se sont atténués. On s'est endormi , les yeux encore pleins de nos fantasmes réalisés.

Au matin il avait disparu du camion. A ma demande José a expliqué que dans le coin vivait d'anciens anars , regroupés en communauté qui quand il passait, profitaient en lui laissant aussi un de leur adeptes.

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